J'ai plusieurs passions dans la vie. Aujourd'hui, j'ai décidé de parler de la musique. Depuis mon jeune âge, je pratique le piano et le saxophone. J'ai aussi fait un diplôme d'études collégiales en musique. C'est à ce moment que j'ai vraiment pu approfondir ma passion. En plus de la pratique d'un instrument, j'ai pu mieux comprendre toute la logique et l'histoire se cachant dans la musique. J'ai ainsi appris à apprécier des oeuvres variées et faire le lien entre ces dernières et la théorie musicale. En en apprenant un peu plus sur les compositeurs et sur les faits historiques, j'ai pu comprendre le contexte de composition des oeuvres et j'ai pu tisser des liens entre ce contexte et les mélodies.
Depuis mon arrivée à l'université, je dois dire que la musique prend un peu moins de place dans ma vie. Je pianote de temps en temps, mais beaucoup moins qu'avant. Je compense un peu en écoutant de la musique. Pour moi, il ne passe pas une journée sans que j'écoute de la musique. Pour moi, elle est une façon de me changer les idées et de me plonger dans toutes sortes d'états d'esprit.
mardi 10 novembre 2009
vendredi 30 octobre 2009
L'éducation
Je crois que la place que l'éducation a dans la vie d'une personne dépend beaucoup de la vision de ses parents. Pour ma part, mes parents ont toujours valorisé les études. Parfois, j'ai même senti que si quelqu'un n'allait pas à l'université, c'était quelqu'un de "moins bien". Quoi qu'il en soit, je n'ai pas vraiment senti de pression puisque mon plan était déjà d'aller à l'université.
L'éducation a une place d'autant plus importante dans ma vie puisque j'étudie pour devenir enseignant. C'est donc dire que j'ai une vision positive de l'enseignement, que je réalise son importance et que je crois pouvoir apporter du bon dans une classe. L'éducation est le futur de la société; nous formons le citoyen et donc le peuple de demain! Toutefois, l'éducation doit tenir compte des changements de la société afin d'offrir l'éducation la plus adaptée possible aux élèves.
L'éducation au Québec traverse une grande période de changement. Suite à l'augmentation du taux de décrochage scolaire, le Ministère de l'éducation a décidé de modifier les programmes de formation de l'école primaire et secondaire. Depuis cet automne, tous les élèves jusqu'à la cinquième année du secondaire suivent le nouveau programme. Cette réforme de l'éducation ne fait pas que des heureux. On remarque que plusieurs enseignants n'ont pas changé leur façon d'enseigner et qu'ils dénigrent le nouveau programme. Ainsi, les élèves sont parfois déstabilisés puisque l'enseignement peut être très différent d'un enseignant à l'autre. On assiste à un grand manque de formation en ce qui a trait à cette réforme. C'est en partie ce qui cause cette confusion chez les enseignants. Notre formation universitaire est basée sur ce nouveau programme de formation, ce qui nous rend plus à l'aise avec la nouvelle façon d'enseigner que bien des enseignants actuels. Ainsi, je crois qu'avec le temps, les enseignants collaboreront afin de bien appliquer la réforme et de rendre l'éducation au Québec efficace et adaptée à notre société.
L'éducation a une place d'autant plus importante dans ma vie puisque j'étudie pour devenir enseignant. C'est donc dire que j'ai une vision positive de l'enseignement, que je réalise son importance et que je crois pouvoir apporter du bon dans une classe. L'éducation est le futur de la société; nous formons le citoyen et donc le peuple de demain! Toutefois, l'éducation doit tenir compte des changements de la société afin d'offrir l'éducation la plus adaptée possible aux élèves.
L'éducation au Québec traverse une grande période de changement. Suite à l'augmentation du taux de décrochage scolaire, le Ministère de l'éducation a décidé de modifier les programmes de formation de l'école primaire et secondaire. Depuis cet automne, tous les élèves jusqu'à la cinquième année du secondaire suivent le nouveau programme. Cette réforme de l'éducation ne fait pas que des heureux. On remarque que plusieurs enseignants n'ont pas changé leur façon d'enseigner et qu'ils dénigrent le nouveau programme. Ainsi, les élèves sont parfois déstabilisés puisque l'enseignement peut être très différent d'un enseignant à l'autre. On assiste à un grand manque de formation en ce qui a trait à cette réforme. C'est en partie ce qui cause cette confusion chez les enseignants. Notre formation universitaire est basée sur ce nouveau programme de formation, ce qui nous rend plus à l'aise avec la nouvelle façon d'enseigner que bien des enseignants actuels. Ainsi, je crois qu'avec le temps, les enseignants collaboreront afin de bien appliquer la réforme et de rendre l'éducation au Québec efficace et adaptée à notre société.
dimanche 18 octobre 2009
Il y a de cela 10 ans...
je venais tout juste de commencer l'école secondaire. Le passage à cette école n'a pas été facile pour moi. Je passais d'une petite école primaire à la plus grosse école secondaire de Sherbrooke. Mes amis du primaire ne m'avaient pas suivis et je me retrouvais un peu seul. À ce moment, je n'avais pas beaucoup confiance en moi et cela ne m'aidait pas à m'intégrer rapidement. Par ailleurs, le fait que je faisais un peu d'embonpoint me rendait "différent" des autres. Cela ne m'aidait pas non plus. J'ai compris ce que c'était que d'être rejeté pour des choses hors de mon contrôle. Ainsi, je comprend un peu la réalité des immigrants arrivant au Québec que l'on considére comme "différents".
J'ai choisi de m'inscrire à l'option musique à l'école. Je suivais déjà des cours privés à l'extérieur, ce qui faisait que j'avais une longueur d'avance sur les autres élèves de la classe. Ces cours m'ont donc permis d'augmenter ma confiance personnelle et de connaître des élèves avec qui j'avais des points en commun.
À ce moment, je n'avais aucune idée de la profession que je voulais faire plus tard. Plus jeune, j'avais pensé devenir animateur de télévision ou bien magicien. Que suis-je devenu? Enseignant de mathématiques au secondaire...Trouvez le lien!
Je n'ai pas eu une grosse crise d'adolescence mais j'ai été témoin de celle de ma soeur. Cette période de ma vie n'a pas été de tout repos avec elle. Chez moi, c'était souvent la chicane, surtout entre elle et ma mère. Je crois que ça m'a rendu plus intolérant envers ces situations et donc, je suis maintenant une personne qui essaie d'éviter les confrontations.
Mon passe-temps à cette période était surtout de jouer au Super Nintendo. Je m'amuse parfois à y rejouer et je me rend compte que c'est comme faire du vélo, ça ne se perd pas!
J'ai choisi de m'inscrire à l'option musique à l'école. Je suivais déjà des cours privés à l'extérieur, ce qui faisait que j'avais une longueur d'avance sur les autres élèves de la classe. Ces cours m'ont donc permis d'augmenter ma confiance personnelle et de connaître des élèves avec qui j'avais des points en commun.
À ce moment, je n'avais aucune idée de la profession que je voulais faire plus tard. Plus jeune, j'avais pensé devenir animateur de télévision ou bien magicien. Que suis-je devenu? Enseignant de mathématiques au secondaire...Trouvez le lien!
Je n'ai pas eu une grosse crise d'adolescence mais j'ai été témoin de celle de ma soeur. Cette période de ma vie n'a pas été de tout repos avec elle. Chez moi, c'était souvent la chicane, surtout entre elle et ma mère. Je crois que ça m'a rendu plus intolérant envers ces situations et donc, je suis maintenant une personne qui essaie d'éviter les confrontations.
Mon passe-temps à cette période était surtout de jouer au Super Nintendo. Je m'amuse parfois à y rejouer et je me rend compte que c'est comme faire du vélo, ça ne se perd pas!
samedi 17 octobre 2009
La société québécoise
La société québécoise n'a rien de vraiment particulier pour moi puisque je la côtoie à chaque jour, ce qui fait que j'ai un peu de difficulté à la qualifier...je ferai de mon possible. Premièrement, je crois que notre société est fière de ce qu'elle a accompli au cours du dernier siècle. Que ce soit au niveau du maintien du français comme langue première, de la libération de la femme ou du délaissement de la religion, le peuple québécois assume ses choix et est conscient du travail que cela a demandé. En général, les gens ne veulent en aucun cas revenir en arrière et aiment la société québécoise contemporaine. On le remarque surtout chez les gens plus âgés, qui ont pris part à cette vague de changement. Deuxièmement, on dit que les québécois sont très accueillants. Je ne peux pas vraiment m'exprimer à ce sujet. Les immigrants pourraient en parler mieux que moi!
Le statut unique du Québec dans le Canada est à la fois une richesse mais se transforme parfois en pauvreté. Cette richesse se traduit par des coutumes, des plats typiques et des valeurs qu'on ne retrouve qu'ici. Par contre, la pauvreté du Québec vient du fait que sa fierté se transforme parfois en peur du nouveau. Certaines personnes ont peur de perdre les acquis pour lesquels ils se sont battus. On assiste donc parfois à un rejet et un manque d'ouverture envers les immigrants. De mon point de vue, les personnes plus âgées et celles vivant dans les villages éloignés d'une réalité immigrante ont plus de réticence en ce sens. Je crois toutefois que les personnes plus jeunes commencent à comprendre que le Québec a besoin de l'immigration et que cette dernière a plus à nous apporter qu'à nous enlever. Bref, les québécois devraient ouvrir un peu leur esprit afin de comprendre la réalité des immigrants et de réaliser les avantages et bienfaits de les accueillir.
Le statut unique du Québec dans le Canada est à la fois une richesse mais se transforme parfois en pauvreté. Cette richesse se traduit par des coutumes, des plats typiques et des valeurs qu'on ne retrouve qu'ici. Par contre, la pauvreté du Québec vient du fait que sa fierté se transforme parfois en peur du nouveau. Certaines personnes ont peur de perdre les acquis pour lesquels ils se sont battus. On assiste donc parfois à un rejet et un manque d'ouverture envers les immigrants. De mon point de vue, les personnes plus âgées et celles vivant dans les villages éloignés d'une réalité immigrante ont plus de réticence en ce sens. Je crois toutefois que les personnes plus jeunes commencent à comprendre que le Québec a besoin de l'immigration et que cette dernière a plus à nous apporter qu'à nous enlever. Bref, les québécois devraient ouvrir un peu leur esprit afin de comprendre la réalité des immigrants et de réaliser les avantages et bienfaits de les accueillir.
mardi 6 octobre 2009
Ma langue
Le français, c'est ma langue première. C'est celle que j'utilise à tous les jours, avec laquelle je communique avec ma famille et mes amis, dans la plupart des circonstances sociales et scolaires. Je n'ai pas beaucoup de difficultés à écrire en français. Je fais peu de fautes et je me corrige en même temps que j'écris. Cela me sauve beaucoup de temps puisque je n'ai pas vraiment à réviser mes textes.
À l'oral, c'est un peu plus complexe. Comme tu l'as probablement remarqué, les québécois n'écrivent pas comme ils parlent. Pour plusieurs, l'écriture est calquée du français de France tandis que le discours oral est typiquement québécois. En enseignement, on essaie de plus en plus d'être conscient des erreurs que l'on fait en parlant, mais certaines sont tellement ancrées dans notre culture qu'on ne les remarque même plus. C'est une des pauvreté de notre langue, du moins, au Québec.
Comme je te l'ai dit la semaine dernière, j'ai suivi un programme en anglais intensif en 6e année. Cela m'a permis d'être beaucoup plus à l'aise, surtout à l'oral. Au secondaire, j'étais dans les cours d'anglais avancé, davantage axés sur la communication. On ne faisait pas vraiment de grammaire. Pourtant, j'ai toujours eu l'impression d'être plus avancé que ceux qui apprenaient toutes les règles dans les autres cours. Ainsi, j'ai eu l'impression que l'apprentissage de la communication a été plus efficace. C'est bizarre puisque je croyais que l'on devait débuter par avoir une bonne base des règles pour bien apprendre à parler et écrire dans une langue.
J'ai peu de difficultés à comprendre l'anglais écrit et oral. Toutefois, j'ai l'impression que je ne pourrais pas dire tout ce que je veux en anglais. Je n'ai pas un vocabulaire assez étendu pour parler à propos de sujets plus techniques. Bref, je comprend bien mais je cherche parfois les mots pour bien me faire comprendre.
L'apprentissage d'une autre langue serait un atout pour moi. Toutefois, pour l'instant, je ne crois pas avoir la patience et la persévérance pour apprendre l'espagnol, par exemple. Qui sait, je changerai peut-être d'idée un jour!
À l'oral, c'est un peu plus complexe. Comme tu l'as probablement remarqué, les québécois n'écrivent pas comme ils parlent. Pour plusieurs, l'écriture est calquée du français de France tandis que le discours oral est typiquement québécois. En enseignement, on essaie de plus en plus d'être conscient des erreurs que l'on fait en parlant, mais certaines sont tellement ancrées dans notre culture qu'on ne les remarque même plus. C'est une des pauvreté de notre langue, du moins, au Québec.
Comme je te l'ai dit la semaine dernière, j'ai suivi un programme en anglais intensif en 6e année. Cela m'a permis d'être beaucoup plus à l'aise, surtout à l'oral. Au secondaire, j'étais dans les cours d'anglais avancé, davantage axés sur la communication. On ne faisait pas vraiment de grammaire. Pourtant, j'ai toujours eu l'impression d'être plus avancé que ceux qui apprenaient toutes les règles dans les autres cours. Ainsi, j'ai eu l'impression que l'apprentissage de la communication a été plus efficace. C'est bizarre puisque je croyais que l'on devait débuter par avoir une bonne base des règles pour bien apprendre à parler et écrire dans une langue.
J'ai peu de difficultés à comprendre l'anglais écrit et oral. Toutefois, j'ai l'impression que je ne pourrais pas dire tout ce que je veux en anglais. Je n'ai pas un vocabulaire assez étendu pour parler à propos de sujets plus techniques. Bref, je comprend bien mais je cherche parfois les mots pour bien me faire comprendre.
L'apprentissage d'une autre langue serait un atout pour moi. Toutefois, pour l'instant, je ne crois pas avoir la patience et la persévérance pour apprendre l'espagnol, par exemple. Qui sait, je changerai peut-être d'idée un jour!
vendredi 2 octobre 2009
Sherbrooke
Disons que j'en ai fait pas mal le tour de ma ville puisque j'y demeure depuis toujours! Certains disent qu'il n'y a rien à faire à Sherbrooke, mais je ne suis pas d'accord. En tout cas, je trouve toujours quelque chose à y faire quand je m'ennuie un peu. Le fait que la plupart de mes amis soient ici m'aide grandement.
Étant quelqu'un qui aime beaucoup manger, je suis gâté à Sherbrooke! Quelques personnes disent que Sherbrooke est la ville des restaurants, et c'est le cas. Peu importe ce qu'on a envie de manger, on le trouve très facilement! Les restaurants que je fréquente le plus sont : Délices du Vietnam, Brasserie Daniel Lapointe, St-Hubert, Beni Won Ton, Caffucino et un grand classique...McDonald! C'est d'ailleurs un endroit inévitable après une soirée dans les bars puisque c'est ouvert 24h/24h.
Un des endroits les plus populaires de Sherbrooke est le parc Jacques-Cartier. On y retrouve le Lac des Nations, entouré de Cité des Rivières. Il est possible d'y marcher, d'y faire du jogging, du vélo, du patin à roues alignées, d'y jouer au soccer, au tennis, au frisbee, d'y faire un pique-nique, etc. D'ailleurs, à un bout du lac, on retrouve le marché de la gare. On y vend des produits frais de la région et on y fabrique une variété impressionnante de gelatos et de sorbets, idéal lors d'une promenade estivale.
Les habitants de Sherbrooke peuvent se rendre au Mont Bellevue (petite montagne que l'on peut apercevoir à côté de l'université), et ce, à toutes les saisons. On peut y faire du ski, de la glissade, de la randonnée et bien plus! Je dois toutefois avouer que, même si je vis tout près du mont, je n'y suis jamais allé!!!
Ce que je trouve intéressant de Sherbrooke, c'est que c'est une petite ville où tous les services sont offerts. On n'a pas souvent à se rendre à Montréal ou à Québec parce qu'on ne trouve pas ce qu'on veut ici (sauf pour les fervents du magasinage qui ont plus de choix dans les grands centres). Je n'aimerais pas vivre à Montréal, par exemple. Je trouve que tout le monde est stressé là-bas et ça me stresse moi-même. Je ne trouve pas ça très beau non plus.
Une dernière chose avant d'aller dormir! Il existe trois murailles intéressantes sur les bâtiments de la ville; elles ont été peintes à la main (coin Frontenac-Marquette, Bowen-King...mais je ne rappelle plus où est l'autre)!
Si tu as besoin de conseils pour trouver des choses dans la ville, tu peux me poser toutes les questions que tu veux. Je connais la ville comme ma poche! :P
Étant quelqu'un qui aime beaucoup manger, je suis gâté à Sherbrooke! Quelques personnes disent que Sherbrooke est la ville des restaurants, et c'est le cas. Peu importe ce qu'on a envie de manger, on le trouve très facilement! Les restaurants que je fréquente le plus sont : Délices du Vietnam, Brasserie Daniel Lapointe, St-Hubert, Beni Won Ton, Caffucino et un grand classique...McDonald! C'est d'ailleurs un endroit inévitable après une soirée dans les bars puisque c'est ouvert 24h/24h.
Un des endroits les plus populaires de Sherbrooke est le parc Jacques-Cartier. On y retrouve le Lac des Nations, entouré de Cité des Rivières. Il est possible d'y marcher, d'y faire du jogging, du vélo, du patin à roues alignées, d'y jouer au soccer, au tennis, au frisbee, d'y faire un pique-nique, etc. D'ailleurs, à un bout du lac, on retrouve le marché de la gare. On y vend des produits frais de la région et on y fabrique une variété impressionnante de gelatos et de sorbets, idéal lors d'une promenade estivale.
Les habitants de Sherbrooke peuvent se rendre au Mont Bellevue (petite montagne que l'on peut apercevoir à côté de l'université), et ce, à toutes les saisons. On peut y faire du ski, de la glissade, de la randonnée et bien plus! Je dois toutefois avouer que, même si je vis tout près du mont, je n'y suis jamais allé!!!
Ce que je trouve intéressant de Sherbrooke, c'est que c'est une petite ville où tous les services sont offerts. On n'a pas souvent à se rendre à Montréal ou à Québec parce qu'on ne trouve pas ce qu'on veut ici (sauf pour les fervents du magasinage qui ont plus de choix dans les grands centres). Je n'aimerais pas vivre à Montréal, par exemple. Je trouve que tout le monde est stressé là-bas et ça me stresse moi-même. Je ne trouve pas ça très beau non plus.
Une dernière chose avant d'aller dormir! Il existe trois murailles intéressantes sur les bâtiments de la ville; elles ont été peintes à la main (coin Frontenac-Marquette, Bowen-King...mais je ne rappelle plus où est l'autre)!
Si tu as besoin de conseils pour trouver des choses dans la ville, tu peux me poser toutes les questions que tu veux. Je connais la ville comme ma poche! :P
samedi 26 septembre 2009
Mon pays
Bonjour!
Voici, en quelques lignes, la description de mon pays d'origine, le Canada.
Dans mon enfance, je ne savais pas beaucoup plus que ce qui était écrit dans mes manuels d'école à propos du Canada. Je voyais beaucoup d'images de paysages, d'animaux et d'habitants qui m'étaient, jusque-là, inconnus. Ces réalités me paraissaient si lointaines...
Un des grands problèmes du Canada est que son territoire est si vaste qu'on ne peut pratiquement pas tout voir en une vie! Il s'étend de l'océan Pacifique à l'ouest jusqu'à l'océan Atlantique à l'est. Le Canada est le deuxième plus grand pays du monde. Par contre, il est environ le 37e pays le plus peuplé au monde. Le Canada est bien vaste, mais ce ne sont pas tous les territoires où il fait bon vivre! En effet, une grande partie du territoire se situe dans la zone arctique. Le Canada est divisé en 10 provinces (dont le Québec) et trois territoires. Le Québec est la deuxième province la plus populeuse, avec environ 8 millions d'habitants. C'est la seule province où la langue française est majoritaire. C'est ce qui engendre un certain patriotisme de la part des québécois qui disent parfois que leur pays, c'est le Québec.
On dit souvent du Canada qu'il y fait si froid. C'est peut-être vrai mais puisque je vis ici depuis toujours, je ne m'en rend pas vraiment compte. Un avantage de notre climat est que nous avons quatre saisons bien distinctes. Au Québec, on reçoit souvent de grandes quantité de neige en hiver. Les températures s'approchent souvent des -20 degrés Celcius. Par contre, on atteint souvent des températures frôlant les 30 degrés Celcius en été. Ainsi, à l'année longue, on peut pratiquer des sports variés allant du ski alpin au ski nautique! L'automne est aussi remarquable puisqu'on assiste au changement de couleur des arbres et à la tombée des feuilles. On l'appelle souvent la flambée des couleurs.
Les paysages du Canada sont très variés. À l'ouest, on peut y remarquer de très hautes montagnes: les Rocheuses. Si on se déplace un peu plus à l'est, on troque les montagnes pour les plaines canadiennes. On y pratique beaucoup l'agriculture et le relief y est très très plat. Encore plus à l'est, les paysages sont plus variés (des montagnes, des vallées, des plaines, etc.). Les cours d'eaux sont très nombreux à travers le pays. On peut donc dire que c'est un paradis pour les adeptes de plein air.
Je dois terminer mon message maintenant, puisque je pars cueillir des pommes, activité très commune en automne au Québec!
Maxime
Voici, en quelques lignes, la description de mon pays d'origine, le Canada.
Dans mon enfance, je ne savais pas beaucoup plus que ce qui était écrit dans mes manuels d'école à propos du Canada. Je voyais beaucoup d'images de paysages, d'animaux et d'habitants qui m'étaient, jusque-là, inconnus. Ces réalités me paraissaient si lointaines...
Un des grands problèmes du Canada est que son territoire est si vaste qu'on ne peut pratiquement pas tout voir en une vie! Il s'étend de l'océan Pacifique à l'ouest jusqu'à l'océan Atlantique à l'est. Le Canada est le deuxième plus grand pays du monde. Par contre, il est environ le 37e pays le plus peuplé au monde. Le Canada est bien vaste, mais ce ne sont pas tous les territoires où il fait bon vivre! En effet, une grande partie du territoire se situe dans la zone arctique. Le Canada est divisé en 10 provinces (dont le Québec) et trois territoires. Le Québec est la deuxième province la plus populeuse, avec environ 8 millions d'habitants. C'est la seule province où la langue française est majoritaire. C'est ce qui engendre un certain patriotisme de la part des québécois qui disent parfois que leur pays, c'est le Québec.
On dit souvent du Canada qu'il y fait si froid. C'est peut-être vrai mais puisque je vis ici depuis toujours, je ne m'en rend pas vraiment compte. Un avantage de notre climat est que nous avons quatre saisons bien distinctes. Au Québec, on reçoit souvent de grandes quantité de neige en hiver. Les températures s'approchent souvent des -20 degrés Celcius. Par contre, on atteint souvent des températures frôlant les 30 degrés Celcius en été. Ainsi, à l'année longue, on peut pratiquer des sports variés allant du ski alpin au ski nautique! L'automne est aussi remarquable puisqu'on assiste au changement de couleur des arbres et à la tombée des feuilles. On l'appelle souvent la flambée des couleurs.
Les paysages du Canada sont très variés. À l'ouest, on peut y remarquer de très hautes montagnes: les Rocheuses. Si on se déplace un peu plus à l'est, on troque les montagnes pour les plaines canadiennes. On y pratique beaucoup l'agriculture et le relief y est très très plat. Encore plus à l'est, les paysages sont plus variés (des montagnes, des vallées, des plaines, etc.). Les cours d'eaux sont très nombreux à travers le pays. On peut donc dire que c'est un paradis pour les adeptes de plein air.
Je dois terminer mon message maintenant, puisque je pars cueillir des pommes, activité très commune en automne au Québec!
Maxime
mardi 22 septembre 2009
Ma présentation
Bonjour,
je suis étudiant à l'Université de Sherbrooke en enseignement des mathématiques au secondaire. J'ai 22 ans et je vis à Sherbrooke depuis ma naissance.
Faisons un petit résumé de mon parcours scolaire! Lorsque j'étais au primaire, j'ai fais un programme en anglais intensif. Je me débrouille donc assez bien en anglais. À l'école secondaire, j'ai choisi la musique comme cours optionnel et j'y ai joué du saxophone pendant cinq ans. J'ai ensuite étudié au collégial dans deux programmes différents: sciences de la nature et musique. Il m'a donc fallu passer trois ans à étudier pour en ressortir avec deux diplômes. J'ai décidé de me diriger vers les sciences plutôt que la musique à l'université. Ainsi, je suis maintenant à la dernière année de mon Baccalauréat et si tout va bien, j'enseignerai devant une classe l'an prochain. Toutefois, je devrai compléter ma session d'automne et faire un stage cet hiver. Ce stage aura lieu dans une autre région, ce qui me poussera à quitter Sherbrooke pour une période indéterminée.
Parlons un peu de ma famille! Je vis encore avec mes parents et j'ai une soeur de 28 ans vivant à Montréal. Mon père est retraité depuis un an mais ma mère travaille encore pour le Gouvernement du Québec. Pour sa part, ma soeur étudie en médecine et travaille présentement en tant que pharmacienne. Par ailleurs, j'ai la chance d'avoir encore près de moi trois de mes grands-parents.
Dans ma vie, je n'ai pas voyagé beaucoup. Je n'ai pas encore quitté le sol de l'Amérique du Nord. Je suis allé quelques fois aux États-Unis pour trouver la chaleur, les plages et les attractions. Je suis aussi allé en Saskatchewan (une autre province du Canada) afin d'y faire mon troisième stage en enseignement. Ainsi, je ne suis jamais vraiment entré dans une culture bien différente de la mienne. Ce blog sera certainement un moyen d'en apprendre un peu plus sur une autre culture.
Au plaisir de vous rencontrer!
Maxime
je suis étudiant à l'Université de Sherbrooke en enseignement des mathématiques au secondaire. J'ai 22 ans et je vis à Sherbrooke depuis ma naissance.
Faisons un petit résumé de mon parcours scolaire! Lorsque j'étais au primaire, j'ai fais un programme en anglais intensif. Je me débrouille donc assez bien en anglais. À l'école secondaire, j'ai choisi la musique comme cours optionnel et j'y ai joué du saxophone pendant cinq ans. J'ai ensuite étudié au collégial dans deux programmes différents: sciences de la nature et musique. Il m'a donc fallu passer trois ans à étudier pour en ressortir avec deux diplômes. J'ai décidé de me diriger vers les sciences plutôt que la musique à l'université. Ainsi, je suis maintenant à la dernière année de mon Baccalauréat et si tout va bien, j'enseignerai devant une classe l'an prochain. Toutefois, je devrai compléter ma session d'automne et faire un stage cet hiver. Ce stage aura lieu dans une autre région, ce qui me poussera à quitter Sherbrooke pour une période indéterminée.
Parlons un peu de ma famille! Je vis encore avec mes parents et j'ai une soeur de 28 ans vivant à Montréal. Mon père est retraité depuis un an mais ma mère travaille encore pour le Gouvernement du Québec. Pour sa part, ma soeur étudie en médecine et travaille présentement en tant que pharmacienne. Par ailleurs, j'ai la chance d'avoir encore près de moi trois de mes grands-parents.
Dans ma vie, je n'ai pas voyagé beaucoup. Je n'ai pas encore quitté le sol de l'Amérique du Nord. Je suis allé quelques fois aux États-Unis pour trouver la chaleur, les plages et les attractions. Je suis aussi allé en Saskatchewan (une autre province du Canada) afin d'y faire mon troisième stage en enseignement. Ainsi, je ne suis jamais vraiment entré dans une culture bien différente de la mienne. Ce blog sera certainement un moyen d'en apprendre un peu plus sur une autre culture.
Au plaisir de vous rencontrer!
Maxime
Inscription à :
Articles (Atom)